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Dans le Pacifique, entre la Californie et Hawaï, les déchets de plastique acheminés par les courants marins se regroupent en un nouveau "continent" de près de 3,5 millions de km² !
Sur ce continent s'installent une flore et une faune dont un specimen (parmi tant d'autres) est montré, générateur d'un risque potentiel pour l'écosystème.. auquel s'ajoutent ceux d'autres espèces à risques, elles aussi, par ex des bactéries qui prolifèrent...
Commentaires
Nous abattons la terre comme on abbat un arbre, le seul ennui c'est qu'il n'y a que les vivants qui se reproduisent : après cette terre, il n'y en aura pas d'autre. Par la conscience je sais que je souffre du fait qu'en tant qu'espèce, nous échouons à notre survie parce que nous exploitons ce qui est mort (l'astre planétaire et son pétrole) et en retirons davantage d'énergie que de notre exploitation du vivant, qui serait comblé d'évoluer avec nous, nous accompagnant et nous respecterant en retour de notre amour. Si l'homme doit son avenir individuel à la femme, la nature est une amante qu'une espèce doit aimer pour avoir un avenir. La nature est la femme de tous les êtres humains, mâles ou femelles.
Peut-être que l'on ignore, qu'aussi imposant soit-il, un objet sans vie est plus limité que tous vivants. Nous avons acquis la technologie pour l'ignorer, nous sommes pris de la frénétique folie du confort apporté simultanément par deux éléments d'envergures : le pétrole et la planète. Oui, le deuxième a toujours existé pour l'Homme, mais pas son organisation planétaire, pas sa césure Nord/Sud, Riche/Pauvre puissante, nouvelle et exploitée grâce au pétrole. Deux nouvelles réalités mortes ont frappé l'être humain, rebondissant sur les autres vivants. L'Homo Sapien-Sapien en a été si secoué qu'il semble présentement vivre un tramatisme dont la létargie causée menace par son temps de rétablissement trop long et l'urgence du danger que connaît la réalité planétaire du vivant, sa propre survie.
Et dire que nous sommes allé si loin pour subir une mort si bête. Nous sommes sur le bord du gouffre (sans jeu de mot), et même si nous sommes la dernière espèce à tomber dedans, chose certaine nous suivrons ceux à qui nous appartenons : les vivants !
Enfin, c'est mon avis.