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Depuis quelques temps, on note une envie croissante de la part des citoyens à mettre du « vert » au cœur de la ville. Potagers urbains, micro-jardins, toutes les astuces sont bonnes pour retrouver un coin de nature dans nos espaces citadins. Une autre tendance se développe et pourrait bien s’inscrire dans nos quotidiens : les oasis. Vous pensez sûrement à ces zones de végétations isolées dans le désert et vous vous demandez certainement à quoi cela correspond chez nous. Humanité & Biodiversité nous aide à y voir plus clair.
Un bel article suivi d'une Interview de Nelly Boutinot, administratrice de Humanité & Biodiversité (propos recueillis par Eva Souto)
Commentaires
Bien entendu, je n'ai qu'un bureau dans les appartements associatifs d'Entrego, un bureau en verre avec des building en déco, et puis un fauteuil vert clair, et une micro oasis nature, faite de trois plantes grasses !
Sinon mon jardin secret, mon esprit, vas s'enrichir de COSMOS de Michel Onfray !
Enfin voyez là un peu d'eau et d'amour...
Maxime
La seule limite des oasis est qu'elles sont souvent privées (mais pas toujours) et qu'à ce titre, l'ensemble de la population ne peut pas forcément en bénéficier. Or, des symptômes du manque de nature commencent à être décrits, timidement - cela relève encore du domaine de la recherche, mais paraît pourtant si évident dans certains endroits où règnent béton et bitume en France ou au Proche Orient -.
Il est donc nécessaire que la création de nouveaux espaces verts soit incluse dans l'urbanisme même si elle coûte de l'argent et n'en rapporte pas directement…
Ces espaces verts peuvent ensuite rejoindre le réseau des oasis nature, et l'on ne peut que se féliciter que les oasis privées soient de plus en plus nombreuses : c'est une bonne nouvelle pour la biodiversité et le rapport de l'humain avec la nature.
Tout est dit ...
Si vous avez besoin un jour d'un argumentaire pour "vendre" les OASIS NATURE, vous n'avez qu'à puiser dans l'interview de Nelly Boutinot.
Merci